Cuatro son las puertas
que atravieso entre mi dormitorio y el baño,
ocho ida y vuelta;pero podrían ser dos.
Nada me aferra el día de hoy, se puede caer el sol y yo ¿y yo? y yo me pregunto aun quien soy. Me dijeron que no había que beber, así se iría de todo el resto el sabor. ¿Y que si hoy me voy?¿me van a perseguir por ser todo lo que no son?¿Me ves cumpliendo tu sueño?¿Mendigando una razón para seguir? Por no cumplir el propio deseo…Yo no nací para ser su alucinación, para que vean en mi todo lo que no son. No me gusta para nada la idealización, no tengo expectativas en alguien hoy...
26.8.10
18.8.10
Orgias y liturgias
De liturgias donde el hombre no era extranjero
el hombre era uno solo y era un dios mas.
Pero este era,ya no es,hablamos de otra era,
donde las orgías rozaban las liturgias
la prohibición era no salir a buscar el pan,
matar a tu hijo,a tus padres,a tus hermanos.
Cristo no existió hasta años ddespués
no se hablaba de muerte ni resurrección
no hhabía dinosaurios ni procariotas,
solo había El Hombre,Dioses y Jazz.
el hombre era uno solo y era un dios mas.
Pero este era,ya no es,hablamos de otra era,
donde las orgías rozaban las liturgias
la prohibición era no salir a buscar el pan,
matar a tu hijo,a tus padres,a tus hermanos.
Cristo no existió hasta años ddespués
no se hablaba de muerte ni resurrección
no hhabía dinosaurios ni procariotas,
solo había El Hombre,Dioses y Jazz.
Gargantilla
Te pedí una soga desde el fondo,
recibí un lazo a la garganta y tiraste
subiendome sin aire hasta la cumbre,
en el medio mordisquié los pedruscos
trague cantidades de vidas sin querer.
recibí un lazo a la garganta y tiraste
subiendome sin aire hasta la cumbre,
en el medio mordisquié los pedruscos
trague cantidades de vidas sin querer.
11.8.10
X
Marchant ou échappant vraiment
Fuyant n’importe quelle ville
Ne visant aucun lieu
Enterrant un possible peut-être.
La raison est en vue
Qui ne pleure pas pour son rire ?
Récit d’une histoire incomplète
Ce fut un jeu de roulette
Tu voudrais que le passé puisse s’effacer
Peut être lui donner vie
Des souvenirs d'un voyage d’aller
Peu de temps a duré le sourire.
Le simple fait d’être dans ce seuil grisâtre
Obligé de naviguer un peu plus loin
Et deviner si la vie est juste
Ou si c’est simplement ici que ce doit être comme ça.
Tu as repoussé le giron où se reposer
Et maintenant tu te regardes dans un miroir et tu penses
Où on en serait si je ne la laissais pas passer ?
Que je serai en moi plein de bonheur ?
Une âme que tu naufrages
Tu rêves de chaleur et tu guéris
C’est simplement un jeu d’espérance
Qui n’indique pas combien elle tarde si tu te tais
Il arrive finalement là
Ce que tu n’imaginais pas…
Seulement te voir le passager que tu réclames
Pour un dieu à qui tu demandes
De sauver le froid du lit
Savoir toujours qu’on ne gaspille pas
La dernière espérance.
Tous pensent que tu ne te fatigues jamais
Bien que tu te vois répété la même fin
Que si de tant marcher
On se rend compte ce qu’est l’ingénuité.
Comme tatoué après avoir marché
dans le billet d'entrée qui t'oblige à respirer,
ça paraîtrait à un refrain sans fin,
tu arrives le plus triste raconter.
Fuyant n’importe quelle ville
Ne visant aucun lieu
Enterrant un possible peut-être.
La raison est en vue
Qui ne pleure pas pour son rire ?
Récit d’une histoire incomplète
Ce fut un jeu de roulette
Tu voudrais que le passé puisse s’effacer
Peut être lui donner vie
Des souvenirs d'un voyage d’aller
Peu de temps a duré le sourire.
Le simple fait d’être dans ce seuil grisâtre
Obligé de naviguer un peu plus loin
Et deviner si la vie est juste
Ou si c’est simplement ici que ce doit être comme ça.
Tu as repoussé le giron où se reposer
Et maintenant tu te regardes dans un miroir et tu penses
Où on en serait si je ne la laissais pas passer ?
Que je serai en moi plein de bonheur ?
Une âme que tu naufrages
Tu rêves de chaleur et tu guéris
C’est simplement un jeu d’espérance
Qui n’indique pas combien elle tarde si tu te tais
Il arrive finalement là
Ce que tu n’imaginais pas…
Seulement te voir le passager que tu réclames
Pour un dieu à qui tu demandes
De sauver le froid du lit
Savoir toujours qu’on ne gaspille pas
La dernière espérance.
Tous pensent que tu ne te fatigues jamais
Bien que tu te vois répété la même fin
Que si de tant marcher
On se rend compte ce qu’est l’ingénuité.
Comme tatoué après avoir marché
dans le billet d'entrée qui t'oblige à respirer,
ça paraîtrait à un refrain sans fin,
tu arrives le plus triste raconter.
9.8.10
Paralelos
Desearía vivirte,no me alcanza que seamos amigos,intimos compañeros de este viaje.Compartimos todo lo que somos,vos me conoces,yo te conozco y no lo noto.Odio tener que llamar primero para encontrarme con vos,aun que a veces nos cruzamos por ahí sin intermediarios (poco frecuente).Insisto que es un pena tanta demora,pertenecemos a distintos universos,yo no te puedo dejar salir,vos no me lo querés permitir y así vivimos en una lucha constante.Siento una energía incontrolable,que la controlo,cuando somos uno,quiero que todos vean y rían y lloren y piensen y sufran lo que somos,pero no me deja esta misma transformación en langosta que me hace saltar entre ser vos y ser yo,no encuentro como ser los dos uno,me cuesta,hay mucho intervalo.Lamento toda la desatención a la que te someto por trabajar,actuar y esperar.
Suscribirse a:
Entradas (Atom)